Valérie Huchette est définie par ses collègues comme “la cheville ouvrière” du Prix Amphi. Elle s’est occupée de la coordination du Prix pendant deux ans. Elle est maintenant remplacée par Perrine Cambier.
Lorsqu’elle est arrivée dans le projet, le prix Amphi n’en était qu’à ses débuts. Ainsi pour le formaliser, lui donner une existence juridique, elle a travaillé avec Bernard Escarbelt à la rédaction du règlement. Ils soumirent tout d’abord ce règlement à l’œil expert du juriste de la Fac. Ensuite, une fois les modifications faites, le comité de pilotage fut chargé de valider ce règlement et de le déposer chez un huissier.Valérie Huchette n’a pas eu pour seul travail la rédaction du règlement. Etant coordinatrice du prix elle fut chargée de la communication autour du prix.
Or, V. Huchette n’ayant pas suivi de formation en communication et possédant un budget assez serré la communication s’est faite de façon assez empirique. Pour la communication interne, il y avait un tirage de programmes, de prospectus et d’affiches qu'elle diffusait aux quatre coins de l’université avant la journée de remise du prix. La communication externe s’effectuait grâce aux partenaires du Prix Amphi, soit la médiathèque de Villeneuve d’Ascq et la librairie l’Arbre à lettres chez lesquels était déposés des cartons avec des programmes. Afin que cette communication soit plus large Valérie contactait les médias (presse régionale et nationale, presse spécialisée, radios et télévisions) et leur envoyait un dossier de presse afin qu’il publie l’annonce de la journée ou qu’ils se déplacent le jour même.
De ce fait la communication autour du prix à commencée à ce mettre en place dès 2003, avec les différents organes de presse qui ont parlé de la journée du Prix Amphi tel que Le Matricule des anges , La Voix du nord, France3, Lille métropole info. L'intérêt des médias pour le Prix Amphi est assez aléatoire car selon les années ils se déplacent ou pas.
Après, avoir bien amélioré la communication du Prix Amphi V.Huchette a dû quitter ses fonctions son contrat avec action culture étant terminé.
Aujourd'hui c'est P. Cambier qui a repris ce travail et qui le continu.
Commentaires :
Mais c'est peut-être un travail en cours...
J'ai corrigé quelques fautes et je laisse vos camarades s'exprimer.
C. Loock